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Swen-Ray ou l'art de se remettre en question

Mardi 25 janvier 2011 à 0:05



Article 1er.

Le 24 janvier 2011. C'est la rentrée, après 10 jours de vacances pas du tout méritées. J'avais rencontré Sarah quelques mois auparavant, alors que j'étais avec Mélody devant le foyer de l'UNEF. 3 janvier donc, on passe les partiels ensemble avec Sarah et Stéphane. Moi je doit dire que j'apprécias bien leur présence. Stéphane est drôle, et ne semble vraiment pas le genre de garçon à s'entêter avec des questions existentielles. Ce qui est d'autant plus étonnant pour moi vu son "bec-de-lièvre" refermé, et sarah à un joli corps, une facilité à rire. Suite aux partiels, on est en vacance. Moi je doit aider Claire en me faisant modèle pour son concours de coiffeuse, et après je rejoins Sarah. Officiellement pour me vendre de quoi fumer, officieusement pour que l'on se voit. Je doit m'avouer que à ce moment là, les seuls instants où je pense à elle, c'est quand je me masturbe, rien d'autre. On prend donc un café, prés de la place Stanislas, on sort, on marche, on va vers la pépinière. Il pleut à ce moment là, on décide donc de se réfugier sous la mini-chapelle : "ha tient, tu as une goutte qui tombe de te cheveux Mickaël" - "Oui, toit aussi tu en as plein tes cheveux. C'est fun"... C'est FUN!!? c'est tout ce que j'ai réussi à sortir dans un tel moment là. Parce que. Parce que....
Cindy n'a, dirais-t-on pas de culture, ou bien c'est moi. Sarah n'as pas une écriture trés agréable. Tout comme moi quelques mois auparavant. Sarah à des pseudo-diamants sur les dents et près des yeux. seulement, Sarah ne se prend pas la tête. Avec Sarah je pourrai apprendre le bonheur de la chair. mais je pense que c'est justement ça!! Je ne veux pas m'éprendre de quelqu'un simplement parce qu'il me prête son corps, et je ne peux pas traiter une personne comme telle, pour ensuite sûrement la jeter, ne plus m'y interresser. Un petit regard se passe entre nous...et je ne fait rien. Rien du tout, enfin si : je me retourne, m'assied sur la barrière et je lance la "conversation échappatoire" à savior, Dieu, spiritualité... et tend jusqu'au fait qu'il ne pleut plus. Et la l'excuse : je doit aller voir un ami,  il m'attend depuis bien longtemps, blablabla. J'ai honte, j'ai mal. Et bien sûr, je ne vais pas chez Hugues, mais je vais à la gare et prend le train pour Luneville. Perdu. perdu en moi-même. Mais pourquoi ne l'ai-je pas embrrassée, prise dans mes bras. Ais-je peur de ne pas savoir quoi dire en sa présence, ce qui arrive souvent, et parfois je déballe cette autre argument débile : "j'aime bien quand on ne parle pas, pas toi??"... triste.
Le lendemain je retourne à Nancy, sortir, boire un peu. Puis je vais chez Lena, tout le monde y est. Gaël et Lena ; Théo et Tuna, Maud et Victor ; François ; l'autre Victor ; Matthieu ; Joséphine. Le temps passe, je m'imbibe, prend mon air aigri de fin de soirrée. Je pense, et en même temps je me noie dans les vapeur d'alcool et d'herbe à fumer. C'est alors qu'arrive Mahaut et sa soeur Lailou,tandis que Lena dors avec ce connard de G. (Article 2). . Lailou et Mahaut se ressemblent, s'assemblent même. Mais Lailou est plus énergique, plus franche, aime jouer avec les conventions, les préjugés, les espaces vitaux (inexistantes soit-dit en passant) ainsi que les nerfs des gens. elle est maman, Lailou, et je pourrait être un bon père dit-elle. Elle fait alors tomber un peu de sirop sur la table, et sitôt fait je me précipite sur le liquide coulant de façon à ce qu'il ne continue pas sur sa jolie robe, et m'emparre de l'essuie-tout et éponge entièrement la table , le tout rapidement et silencieusement. la jeune femme me disant de ne pas être déboussollée m'avoue être surprise et justement déboussollée. La fin arrive, on déscend tous dans la rue, je raccompagne François et en revenant chez Lena, je m'allonge par terre avec un grand sourire. Sourire qui retombe aussitôt, vu la situation de Lailou mère au père absent, agée de quoi? 25-26 ans? ais-je envie d'une vie posée à 20ans??

Le 21 janvier, la compagnie pour laquelle j'ai signé avec les filles, qui font bien croire avoir besoin d'un homme de son et lumière (article 3),  donne un représentation à la salle raugraff. J'y invite Sarah. Par plaisir, bien sûr. Mais égallement avec l'idée de lui parler de ce problème de ... sentiment chaud au bas-ventre et non d'un noeu dans l'estomac. On prend café et dîner ensemble. La représentation est agréable. Je danse à l'africaine, histoire de me défouler de toute cette tension de merdemerdemerdemerdemerdemerde. Puis, je réutilise une excuse bidon, disant devoir dormir chez Manon, alors que je sait trés bien qu'elle m'a foutue la porte au nez quelques heures auparavant. et bien sûr en raccompagant Sarah je n'ai pas eu une seule occasion, ou force de lui avouer mon mauvais esprit. Solde = un baiser sur la joue qui fini près de sa lèvre, 'manquait plus que ça. elle rentre chez son ami et je m'en vais, vers chez G. de merde (article 4) quelques heures plus tard, sarah m'envoie un SMS me questionnant sur mes intentions : ami ou petit-ami? MERDEMERDEMERDEMERED je découvre le vrai monde de l'amour : une relation entre DEUX personnes salle couillon.

Lundi de la rentrée. 24 janvier . Je n'ai pas répondus de tout le W-E. Le pire depuis...quelques heures. Je lui répond avec franchise : j'attendais que l'on se voit pour en parler. Elle travail à la caféteria. Je m'y rend après être passé à la banque et avoir pris un bon café. Sarah m'en offre un dans la cafèt' où elle travaille. Le moment fatidique arrive, où je dois lui parler. Mon discours tant préparé dans le train pour "atténuer" les choses et ne pas être trop sans tact ne sort pas. Et le prénom de Lailou ne sort pas ce qui me rend encore moins crédible. Elle me demande de m'en aller. aprés mon cours de 15-16h, je vais prendre le train, rentrer chez moi. Et me voici, aprés un derneir SMS où elle me dit ne pas me croire pour mon excuse d'avoir au un coup de foudre. a moitié tort, à moitié raison lui dis-je. Je suis réellement tombé amoureux de Lailou, mais j'ai peur. tout comme j'ai eu peur de m'engager avec Sarah parce que JE NE VEUX PAS l'aimer pour son vagin, ça n'est pas permis. Et ça aussi il va falloir lui dire. Je lui ai menti sûr le jour de la rencontre de Lailou et omis ce qui me retient de m'avacner vers Sarah.

Je ne suis pas fait pour l'amour.



THX for reading.

Mardi 25 janvier 2011 à 1:48

Ce jeu ne demande que 3 minutes d'attention . Ca va t'effrayer. La personne qui me la envoyé a dit que son voeu s'est réalisé 10 minutes après l'avoir lu. Mais pas de triche. Ce jeu a un drôle/effrayant dénouement .. Ne lis pas en avance mais fais-le dans l'ordre, point par point. Ca prend env 3 min. et ca vaut la peine. Prends d'abord une feuille et un crayon.

CONSIGNES:
Quand tu choisis les noms, sois sûr que ce sont des personnes que tu
connais
et fais-le d'après ton premier instinc .Descend ligne par ligne. Ne lis pas en dessous, tu gâcheras tout le fun parti

1. Ecris les chiffres de 1 a 11 dans une colonne

2. A côté des chiffres 1 et 2, écris 2 nombres aux choix

3. A côté des chiffres 3 et 7,inscrit le nom d'une personne de sexe opposé (noms differents )

Ne regarde pas trop bas ou ca ne marchera pas. Avance point par point...

4. Ecris le nom de n'importe qui (amis, famille) à côté des chiffres 4, 5 et 6. (noms differents)


5. Ecris quatre titres de chansons en 8, 9, 10 et 11

6. Finalement, fais un voeu Ici est la clef du jeu

RESULTAT :
1.Tu dois parler de ce jeu à un certain nombre de personnes (le nombre qui est à côté du 2).
2. La personne en place 3 est celle que tu aimes.
3. Celle en place 7 est quelqu'un que tu apprécies beaucoup mais avec qui ça ne marche pas.
4. La personne que tu as mise en 4 est qqn à qui tu tiens vraiment beaucoup .
5.La personne que tu as nommée en place 5 est celle qui te connait très bien
6. La pers. que tu as inscrite en 6 est ta personne porte-bonheur
7. La chanson en 8 est celle qui s'associe avec la personne en 3.
8. Le titre en 9 est la chanson pour la personne en 7
9. La chanson en 10 est celle qui t'en dit le plus sur ton esprit
10. La chanson en 11 est celle qui révèle tes sentiments par rapport à la vie.

Mets cela sur 10 blogs dans l'heure qui suit ta lecture de ce mot. Si tu le fais ton voeu se réalisera. Si tu ne le fais pas, ça deviendra l'inverse ! Sacrément bizarre... Mais ça à l'air de marcher...
           


Mardi 25 janvier 2011 à 3:44

http://swenray.cowblog.fr/images/DSC02256copie-copie-1.jpgles prénoms sont changés



Article 2

http://www.youtube.com/watch?v=oBoZmTqiw6I

Nela. C'est un sujet qui trotte, ou plutôt qui court à pas d'éléphant, dans ma tête depuis un bon moment. On commence souvent par le début des choses. La première fois que je l'aie rencontrée, c'était dans un café. C'était également la première fois que je rencontrais les internes, ou plutôt Baptiste et Théo. Des amis chers dorénavant. Du moins j'espère qu'ils le resteront. A cette table il y avait aussi Gaël. Sans le savoir Gaël, Baptiste et moi-même tombions amoureux de la même fille : la chimère au mouvements charmeurs. Quelque peu rabaissant me diras-tu, mais j'en suis arrivé à un point où, ne pouvant plus me haïr moi, je déteste les gens qui m'entoure et qui me font du mal sans même que cela ne vienne d'eux. sûrement une des causes de ce journal informatique. Soit. J'ai vu le rapprochement lent et sûr de Gaël et ma chère chimère. Une douleur, de plus en plus vive, à chaque fois que je les vois dans les bras l'un de l'autre. Je me souviendrait très très longtemps de ces râles de bonheur qu'ils avaient dans le couloir de l'appartement de Nela. Tapis dans le noir, comme un voyeur, j'écoutais les frottements de tissus et les respirations lourdes de sens. Je m'imaginais à la place de cet artiste que je ne serais jamais (article 5), en train de toucher sensuellement ces petits seins, cette hanche libre, ses cheveux désordonnés.  Ah! Si seulement je n'aurait eu le droit qu'à cela. Mais je me découvre un peu cette nature masochiste. Physique? un peu. Morale, très certainement, et en plus d'être inconscient je le provoque parfois volontairement.  c'est pourquoi un soir où je voulais sortir et boire et retrouver mes amis de Nancy je me suis fait avoir. Tenant la chandelle à deux couples, j'ai dû choisir un des deux binômes pour dormir. Theo et Tuna, j'aime pas me retrouver chez eux : la dernière fois, je l'ai surprise en train de le sucer. j'ai donc choisis Nela et Gaël : mauvaise pioche. Je me suis retrouvé à boire tout l'alcool présent chez Gaël "Je suis malade, prend tout ce que tu veux". Je n'ai pas pris tout ce que je voulais, j'ai gobé tout ce que j'ai pu. Eux deux étaient à côté, vas savoir ce qu'il faisaient. Mais même rien que le fait de les savoir dans le même lit me rendit malade, malade  à en chialer, morver dans mon coin en silence. et alors j'ai dessiné, sur des feuilles cadrillées, collées à son mur. Dans l'espoir qu'ils me voient. Ils m'ont vu, et ont adoré ces fichus dessins (Article 5). Il m'a montré l'art brut. Et mon poing brut dans ton nez?
Maintenant, quand je les vois s'entrelacer, une vive douleur, toujours la même.

Mais alors, pourquoi est-ce que je me rend toujours chez elle ou chez lui?

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Dimanche 30 janvier 2011 à 23:44

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